Grande Braderie aux Multinationales

1 Mai 2019

   La Grande braderie des terres de Guyane aux multinationales minières est En Marche !

1 - En dépit des mobilisations citoyennes contre le méga-projet minier Montagne d'or, les compagnies minières sont plus nombreuses à demander et à obtenir des permis d’exploration aurifère.

Parmi elles, des multinationales, aux aguets de l’arrivée historique de l’exploitation industrielle de l’or guyanais.

                                                               

LIRE les dernières révélations en la matière

dans l'article de Hélène Ferrarini sur le site de REPORTERRE...

A lire aussi, 3000 km2 de forêt Guyanaise menacées

L'article de Nolwenn Weiler de BastaMag

2 - Ça vient de paraitre !

Un rapport à lire avec attention pour enrichir l’argumentation pour contrer les promoteurs du lobby minier industriel en forêt Guyanaise (Ministère de l’Economie, Transition Ecologique, CESE, BRGM, CTG, Medef …)

Note de positionnement de France Nature Environnement

sur la relance minière en France

                                                                                                       Version initiale : Avril 2019

A Télécharger ici...

Carte des implantations des Permis miniers accordés par l'Etat à l'industrie minière principalement étrangères.

Plus de 360 000 hectares (accordés ou en cours d'instruction) et ce bilan est encore non exhaustif ! Carte réalisée par le Collectif Or de Question !

La cause première de cette cartographie néo-colonialiste,

ce pillage potentiel du patrimoine naturel de la Guyane au profit des multinationales minières,

relève de l'obéissance aveugle et irresponsable de certains Services de l’Etat

en leur plus haute hiérarchie.

Ce n'est pas une cause technique mais bien comportementale.

Le seul espoir ne tient plus dans une hypothétique prise de conscience de ces personnels

en matière d’urgence climatique,

mais il passe par une refonte totale de tous les mécanismes

qui ont permis et encouragé ce mépris du bien commun des Guyanais !

Il faut reprendre le contrôle et imposer une transparence totale dans

chaque maillon de la chaîne (Préfecture, DEAL, ARS, Coderst, Ministère Outre-mer, BRGM, …)